Tutti ti chiamano il Soccorso dei Miseri e provano il beneficio della tua protezione. Perciò anch’ io ricorro a Te in questa mia tribolazione.
O cristianismo não é uma coisa do passado, vivido como se olhássemos sempre para trás, para os tempos evangélicos, mas sempre novo, pois está marcado pela presença constante de Jesus Cristo, que está no meio de nós, e que é de hoje, ontem, amanhã e toda a eternidade. Na história da humanidade, encontramos “pegadas” de Deus. Este blogue procura, humildemente, mostrar alguma delas.
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segunda-feira, 20 de abril de 2015
Soccorso dei Miseri
Tutti ti chiamano il Soccorso dei Miseri e provano il beneficio della tua protezione. Perciò anch’ io ricorro a Te in questa mia tribolazione.
La Vergine Santissima, partecipe della compassione di Dio per l'uomo
Il Vangelo
propone spesso il quadro, colorito e vivace, delle moltitudini che accorrono e
si stringono attorno al Maestro, animate dal desiderio di essere guarite, di
ritrovare la salute del corpo e la pace dello spirito. Gesù si pone come il
Buon Samaritano della parabola, come il Buon Pastore, che si prende cura, con
infinita tenerezza, dei suoi discepoli. Il suo sguardo abbraccia le folle che,
stanche e ormai sfinite, lo seguono, come “pecore senza pastore” (Mc 6,34). Per
tutti Gesù ha un gesto e una parola di consolazione; ridona la vista ai ciechi,
ai sordi l’udito, la possibilità di camminare agli infermi. La sua Croce redime
e continua a illuminare l’insondabile mistero della sofferenza e le dona una
inattesa forza salvifica, unita all’infinito valore della Eucaristia. Il nostro
patire diviene patire di Cristo, attraversato dalla potenza della Sua gloriosa
Risurrezione.
La nostra croce
trova sempre, ai suoi piedi, una Madre, totalmente e intimamente compenetrata
dalla medesima compassione, dal medesimo desiderio di salvezza che dimora nel
Cuore di Cristo. Nuova e santa Arca dell'Alleanza, la Vergine porta in sé il
Figlio stesso di Dio, di cui si fa tabernacolo e ostensorio di Grazia. Ella
coinvolge, nella premura misericordiosa di cui è colma, alcune anime
predilette, perché siano -come Lei e con Lei- offerta purissima e gradita al
Cielo. I suoi occhi si volgono alla Chiesa, al mondo, a ogni cuore che cerca la
Verità, per rintracciare “alleati”, audaci e intrepidi, che condividano i suoi
stessi disegni di amore.
Nei “luoghi
mariani”, nei grandi Santuari a Lei dedicati, confluisce, da sempre, l’umanità,
afflitta da ogni sorta di prova: i malati, gli infermi, i poveri peccatori, con
il loro carico di pena e di sofferenza. Come per le vie della Palestina, così a
Lourdes, a Fatima, a Cestokhowa, a Loreto si rinnova questo incontro tra la
Misericordia di Dio e l’umana debolezza, tra la condiscendenza dell’Altissimo e
le profondità del nostro male.
La figura di
Maria Santissima -talora contestata per la sua presunta indebita “invadenza”
nel panorama della Fede, come se la sua presenza possa minacciare la centralità
assoluta di Cristo Signore- ha permesso e permette ai credenti di penetrare
sempre più profondamente nel mistero di Dio, di accogliere interiormente la Sua
Parola, superando il rischio di una conoscenza arida e fredda, di un vuoto
ritualismo. Questo popolo -dice il Signore- mi onora con le labbra, ma il suo
cuore è distante da me (Isaia 29,13). La vera devozione alla Madre di Cristo
riporta proprio il cuore dell’uomo al suo Dio, riconduce il credente alle
sorgenti della Grazia, con una adesione santa, tenera, cordiale e filiale al
suo Creatore.
In un’ampia
varietà di forme, di esperienze e di approcci si manifesta, ormai da decenni,
nella Chiesa un rinnovato interesse per la Sacra Scrittura, letta diffusamente,
proclamata, conosciuta, meditata e amata. È la Vergine Santa che ci aiuta a far
fluire la forza della Parola di Dio, la luce dell’annunzio di Pasqua, nella
quotidianità, rileggendo la vita, le occupazioni, le nostre umili e semplici
realtà di tutti i giorni attraverso la grazia inesauribile del Vangelo. La
sapienza dell'Antica Alleanza, la bellezza inarrivabile dei Salmi, la
ineguagliabile forza del Nuovo Testamento discendono e scorrono nel purissimo e
immacolato Cuore della Vergine. Unita in tutto alla volontà del suo Signore,
Ella ci educa a riordinare l'esistenza intorno al suo unico “centro vitale”, a
non disperderci nella distrazione delle cose, ma a ricomporre l'unità di
affetti, di sentimenti, di parole e di azioni intorno all'essenziale, a Dio.
I luoghi di Maria
divengono così privilegiati “luoghi dello Spirito”, luoghi della Parola,
proclamata e vissuta; luoghi della sofferenza redenta, accolta e amata,
privilegiate oasi di preghiera e di riconciliazione. Ogni anima può diventare
“Terra di Maria”. Ogni cuore, che si apre alla Grazia, è come la Grotta di
Betlem, la santa dimora di Nazareth, il Cenacolo, il Calvario, il riflesso vivo
dell’alba nuova di Risurrezione.
Una bella
giaculatoria mariana -dal tono e dalla fragranza quasi di una ingenua e
infantile filastrocca- suggerisce parole di Cielo, che riassumono il fascino di
un autentico cammino di Fede: “Madre di Misericordia e Madre d’Amore, rinnova a
tutti il cuore, come Gesù vuole”.
Sia questo, per
tutti, un semplice -ma impegnativo- programma di vita.
ROMA, 19 Aprile
2015 (Zenit.org) - (Di Mario Piatti, I.C.M.S., Tratto dalla rivista mensile Maria di Fatima)
Le 20 avril 1884 : le pape Léon XIII publie l'encyclique Humanum genus qui condamne la maçonnerie.
Le pape y résume et rappelle toutes les
condamnations de la maçonnerie faites par ses prédécesseurs.
Dans L'Église et les libertés (Editions Nouvelle librairie nationale, page 66) le RP. Dom BESSE commente ainsi l'encyclique en 1913:
« Nous n'avons rien d'aussi complet sur la Maçonnerie et les Sociétés Secrètes. Le dessein qu'elles poursuivent est défini en ces termes : « Il s'agit pour les Francs-Maçons — et tous leurs efforts tendent à ce but — il s'agit de détruire de fond en comble toute la discipline religieuse et sociale, qui est née des institutions chrétiennes, et de lui en substituer une nouvelle, façonnée à leurs idées, et dont les principes fondamentaux et les lois sont empruntés au naturalisme. »
On y retrouve dans son ensemble le plan des hommes de la révolution. Les Francs-Maçons en poursuivent l'exécution, article par article, avec une méthode rigoureuse. Rien ne les arrête. Leur action publique se rattache à une école, où tout est prévu. Ils ont un système politique à eux. C'est celui de Rousseau et des Encyclopédistes: « Voici quels sont en cette matière les dogmes des naturalistes: les hommes sont égaux en droit; tous, et à tous les points de vue, sont d'égale condition. Étant tous libres par nature, aucun d'eux n'a le droit de commander à un de ses semblables, et c'est faire violence aux hommes que de prétendre les soumettre à une autorité quelconque, à moins que cette autorité ne procède d'eux-mêmes. Tout pouvoir est dans le peuple libre; ceux qui exercent le commandement n'en sont les détenteurs que par le mandat ou par la concession du peuple; de telle sorte que, si la volonté du peuple change, il faut dépouiller de leur autorité les chefs de l'État, même malgré eux... En outre, l'État doit être athée. »
On reconnaît là le programme démocratique de la Révolution, que la Maçonnerie a imposé à diverses nations. Le type qui le réalise le mieux est sans aucun doute la République française. »
Un peu avant il écrit page 62 :
« Ces sectes ne fonctionnaient pas seulement en France. Les provinces rhénanes, la Bavière, les Pays- Bas, l'Espagne et l'Italie avaient eu les leurs. Elles furent partout l'armée occulte et disciplinée de la révolution, menant contre l'Église catholique une campagne acharnée. Ceux qui négligent ce facteur des événements s'exposent à ne rien comprendre dans notre histoire contemporaine.
Sur ce point, comme sur beaucoup d'autres, les Papes parlèrent en précurseurs. Les dangers qu'ils dénoncèrent les premiers menaçaient la société civile autant que la société religieuse.
Les chefs d'État feignirent de ne point écouter leurs avis. Cette légèreté devait leur coûter cher. Le premier document antimaçonnique émanant du Saint-Siège porte la date du 28 avril 1738. Il est de Clément XII. Le secret absolu, dans lequel cette secte s'enveloppe, lui paraît être pour les gouvernements très dangereux; car, si l'on tient tant à se cacher, c'est évidemment pour faire du mal. On veut le faire en toute sécurité. En conséquence, il interdit, sous peine d'excommunication, aux fidèles de s'agréger à ces sociétés occultes. Benoît XIV renouvela cette défense, le 16 mars 1751.
Pie VII et Léon XII revinrent à la charge. Ils visaient plus spécialement les sociétés connues en Italie sous le nom de Charbonnerie. Leurs membres se nommaient Carbonari. »
Dans L'Église et les libertés (Editions Nouvelle librairie nationale, page 66) le RP. Dom BESSE commente ainsi l'encyclique en 1913:
« Nous n'avons rien d'aussi complet sur la Maçonnerie et les Sociétés Secrètes. Le dessein qu'elles poursuivent est défini en ces termes : « Il s'agit pour les Francs-Maçons — et tous leurs efforts tendent à ce but — il s'agit de détruire de fond en comble toute la discipline religieuse et sociale, qui est née des institutions chrétiennes, et de lui en substituer une nouvelle, façonnée à leurs idées, et dont les principes fondamentaux et les lois sont empruntés au naturalisme. »
On y retrouve dans son ensemble le plan des hommes de la révolution. Les Francs-Maçons en poursuivent l'exécution, article par article, avec une méthode rigoureuse. Rien ne les arrête. Leur action publique se rattache à une école, où tout est prévu. Ils ont un système politique à eux. C'est celui de Rousseau et des Encyclopédistes: « Voici quels sont en cette matière les dogmes des naturalistes: les hommes sont égaux en droit; tous, et à tous les points de vue, sont d'égale condition. Étant tous libres par nature, aucun d'eux n'a le droit de commander à un de ses semblables, et c'est faire violence aux hommes que de prétendre les soumettre à une autorité quelconque, à moins que cette autorité ne procède d'eux-mêmes. Tout pouvoir est dans le peuple libre; ceux qui exercent le commandement n'en sont les détenteurs que par le mandat ou par la concession du peuple; de telle sorte que, si la volonté du peuple change, il faut dépouiller de leur autorité les chefs de l'État, même malgré eux... En outre, l'État doit être athée. »
On reconnaît là le programme démocratique de la Révolution, que la Maçonnerie a imposé à diverses nations. Le type qui le réalise le mieux est sans aucun doute la République française. »
Un peu avant il écrit page 62 :
« Ces sectes ne fonctionnaient pas seulement en France. Les provinces rhénanes, la Bavière, les Pays- Bas, l'Espagne et l'Italie avaient eu les leurs. Elles furent partout l'armée occulte et disciplinée de la révolution, menant contre l'Église catholique une campagne acharnée. Ceux qui négligent ce facteur des événements s'exposent à ne rien comprendre dans notre histoire contemporaine.
Sur ce point, comme sur beaucoup d'autres, les Papes parlèrent en précurseurs. Les dangers qu'ils dénoncèrent les premiers menaçaient la société civile autant que la société religieuse.
Les chefs d'État feignirent de ne point écouter leurs avis. Cette légèreté devait leur coûter cher. Le premier document antimaçonnique émanant du Saint-Siège porte la date du 28 avril 1738. Il est de Clément XII. Le secret absolu, dans lequel cette secte s'enveloppe, lui paraît être pour les gouvernements très dangereux; car, si l'on tient tant à se cacher, c'est évidemment pour faire du mal. On veut le faire en toute sécurité. En conséquence, il interdit, sous peine d'excommunication, aux fidèles de s'agréger à ces sociétés occultes. Benoît XIV renouvela cette défense, le 16 mars 1751.
Pie VII et Léon XII revinrent à la charge. Ils visaient plus spécialement les sociétés connues en Italie sous le nom de Charbonnerie. Leurs membres se nommaient Carbonari. »
Le 20 avril 1233 : création de l'Inquisition par la bulle Ille humani generis.
L'Inquisition est un tribunal ecclésiastique
relevant du seul Saint-Siège, pour poursuivre les hérétiques. Les inquisiteurs se
recrutent dans les ordres prêcheurs, Dominicains et Franciscains. La Sacrée
Congrégation pour la doctrine de la Foi en est l'héritière.
Jean Sévillia dans son livre Historiquement
correct, aux éditions Perrin rappelle ce qu'est l'Inquisition, faisant
le vrai bilan des condamnations et surtout expliquant en quoi les Inquisitions
romaine, espagnole et médiévale n'ont rien en commun. Cette dernière est une
institution d'Eglise qui dépend du Pape ainsi que les inquisiteurs. Certains
sont d'ailleurs sanctionnés voir condamnés à la prison à vie, comme Robert le
Bougre dans le nord de la France. Sévillia souligne combien cette justice est procédurière,
méthodique et bien plus modérée que la justice civile de l'époque qui ne
s'embarrasse pas du droit des accusés. Il affirme même que l'Inquisition est vécue comme
une délivrance. Les hérétiques sont considérés comme dangereux pour
et par la société. A l'époque l'hérésie est considérée par tous comme un crime.
Des avancées judiciaires de l'Inquisition
existent encore aujourd'hui. Ce sont, par exemple, les inquisiteurs qui mettent
en place le système du jury pour délibérer de la sentence donnée au jugement. En France, après l'extinction
de l'hérésie l'inquisition perd sa raison d'être et la justice d'Etat prend le
pas. Ce n'est pas le cas en Espagne. (Le Salon Beige,
20-4-2015)
La Sábana Santa expuesta en la Catedral de Turín
La exposición de la Sábana Santa
de Turín, del 19 de abril al 24 de junio de 2015, dará prioridad a los jóvenes
y los enfermos, incorporando por primera vez un sistema de acogida similar al
de Lourdes.
Hasta el pasado 25 de marzo, 850.000 peregrinos habían realizado una reserva para admirar la Sábana Santa, explicó entonces la vicealcaldesa de Turín, Elide Tisi.
En estas últimas semanas, el número se ha seguido incrementando, confirmó Fassino, que no dio cifras concretas.
"Los peregrinos frente a la Sábana Santa no contemplarán un muerto sino la imagen de una persona que, a través del don de la vida, ha regalado a la Humanidad el amor más grande. Un amor con el que poder vencer el mal", apostilló el arzobispo de Turín, Cesare Nosiglia.
Durante su visita a Turín, Bergoglio celebrará una multitudinaria misa en la Piazza Vittorio, en la que se dispondrá un lugar reservado algunos jóvenes y enfermos, y comerá con un grupo de detenidos de la cárcel de menores "Ferrante Aporti".
Además, visitará el Templo evangélico Valdense, una rama protestante con una presencia de casi un milenio en el país, y celebrará una misa estrictamente privada con algunos familiares de la región del Piamonte, con los que también almorzará.
El acceso a la Sábana Santa es gratuito, aunque los visitantes podrán dejar un donativo al finalizar la visita. El dinero recaudado será entregado al papa durante su viaje con la "esperanza de que lo destine a obras de solidaridad con los pobres y los necesitados", subrayó recientemente el arzobispo Nosiglia. (Religion Digital/Agencias/20 de abril de 2015)
Hasta el pasado 25 de marzo, 850.000 peregrinos habían realizado una reserva para admirar la Sábana Santa, explicó entonces la vicealcaldesa de Turín, Elide Tisi.
En estas últimas semanas, el número se ha seguido incrementando, confirmó Fassino, que no dio cifras concretas.
"Los peregrinos frente a la Sábana Santa no contemplarán un muerto sino la imagen de una persona que, a través del don de la vida, ha regalado a la Humanidad el amor más grande. Un amor con el que poder vencer el mal", apostilló el arzobispo de Turín, Cesare Nosiglia.
Durante su visita a Turín, Bergoglio celebrará una multitudinaria misa en la Piazza Vittorio, en la que se dispondrá un lugar reservado algunos jóvenes y enfermos, y comerá con un grupo de detenidos de la cárcel de menores "Ferrante Aporti".
Además, visitará el Templo evangélico Valdense, una rama protestante con una presencia de casi un milenio en el país, y celebrará una misa estrictamente privada con algunos familiares de la región del Piamonte, con los que también almorzará.
El acceso a la Sábana Santa es gratuito, aunque los visitantes podrán dejar un donativo al finalizar la visita. El dinero recaudado será entregado al papa durante su viaje con la "esperanza de que lo destine a obras de solidaridad con los pobres y los necesitados", subrayó recientemente el arzobispo Nosiglia. (Religion Digital/Agencias/20 de abril de 2015)
La iglesia católica de EEUU gasta 150 millones en indemnizaciones por los casos de pedofilia entre junio de 2013 y junio 2014
La iglesia católica de
Estados Unidos gastó entre junio de 2013 y el mismo mes de 2014 unos 120
millones de dólares para apoyar a víctimas de abuso sexual de clérigos y 30
millones en programas de prevención de la pedofilia, según un informe anual
publicado el viernes.
La mayor parte de los 150
millones de dólares se destinaron a indemnizaciones, terapias de las
víctimas y gastos legales, indicó el informe, encargado por la Conferencia
episcopal de Estados Unidos.
Desde que en 2002 estallara un
escándalo sobre actos de pedofilia cometidos por sacerdotes, los obispos de
Estados Unidos realizan un estudio anual sobre las denuncias presentadas al
respecto en el país.
Varios altos funcionarios de la
iglesia reconocieron que habían protegido a sacerdotes responsables de abusos
sexuales de niños.
Según el informe, hubo en el
período considerado 657 denuncias de abusos sexuales a menores por parte
de sacerdotes, de los cuales 130 han sido reconocidos, 243 están todavía bajo
investigación y el resto no han sido probados. La mayoría de las denuncias se
refieren a acontecimientos que tuvieron lugar hace años.
"No debemos ser
complacientes con lo que se ha logrado. Debemos continuar cumpliendo nuestra
promesa" de sanar lo ocurrido en 2002, dijo el presidente de la
Conferencia Episcopal, el arzobispo Joseph Kurtz. "La iglesia ayudará a
(...) echar luz sobre lo oscuro y a combatir el mal y los abusos dondequiera
que se cometan", agregó.(Religion Digital/Agencias/19-4-2015)
Quel vescovo Cordileone che non piace ai progressisti
Un centinaio di zelanti cattolici californiani ha preso
una pagina del quotidiano The Chronicle per chiedere al Papa di “rimuovere” il
loro vescovo. Si tratta di monsignor Salvatore Cordileone, arcivescovo di San
Francisco, entrato in diocesi nel 2012.
Si dà il caso che il prelato sia il presidente del Comitato di Difesa del matrimonio della Conferenza episcopale americana, e in California è noto per il suo coraggio nel difendere l’istituto matrimoniale da ogni ideologia che tenti di indebolirlo o mistificarlo. Ma, non solo. Recentemente l’arcivescovo Cordileone è salito agli onori della cronaca perché ha rivisto il contratto degli insegnanti delle scuole cattoliche, inserendo il rispetto di alcuni punti di dottrina, cioè quelli riferiti alla morale sessuale, alla contraccezione e all'uso delle cellule staminali. Per questo ha già subito violenti attacchi, perfino sul New York Times.
Ora arriva questa richiesta di “rimozione” indirizzata direttamente al Papa e che accusa il vescovo, tra l'altro, di aver favorito sacerdoti che “ostacolano la partecipazione delle donne nella Chiesa escludendo le ragazze dal servizio all'altare”; di avere un' agenda “monotematica” contro le unioni tra persone dello stesso sesso; e di non ascoltare i sacerdoti anziani della propria diocesi. “Sembra”, ha dichiarato Frank Pitre, un avvocato firmatario, “che stia andando in una direzione che è completamente opposta a quella di Papa Francesco e sta creando un clima di intolleranza totale”.
Nibby Brothers, un'altra firmataria, dice che monsignor Cordileone “sta solo causando un sacco di discordia, specialmente tra i giovani della diocesi”. A titolo di cronaca possiamo ricordare che la diocesi in questione, quella di San Francisco, era conosciuta come una delle più liberal degli States prima della nomina di Cordileone.
Il problema, secondo la Brothers, sarebbe proprio nel messaggio promosso dal vescovo, una pastorale che allontanerebbe i fedeli in quanto in disaccordo rispetto a come le pecorelle di San Francisco “conducono la loro vita”. Quindi, secondo queste opinioni, sembra debba essere il mondo a dettare l’agenda della Chiesa, e favorire così non lo sviluppo, ma una vera e propria evoluzione del dogma.
Dalla diocesi è scaturito un comunicato molto chiaro che rileva come questo annuncio a mezzo stampa sia inficiato da “un travisamento dell'insegnamento cattolico, un travisamento della natura del contratto degli insegnanti, e un travisamento dello spirito dell'arcivescovo”. E, conclude il comunicato, “il più grande travisamento di tutti è che i firmatari presumono di parlare per la Comunità cattolica di San Francisco”.
Fedele alla linea, monsignor Cordileone, che tra l’altro è uno dei quattro membri americani per il prossimo sinodo di ottobre, è uno dei principali promotori della prossima “March for marriage” (Marcia per il Matrimonio) che si terrà il 25 aprile a Washington. La marcia viene promossa dalla Conferenza episcopale a stelle e strisce, con l’intento di far sentire la voce dei cattolici in merito ad un'importante decisione che la Suprema Corte di Giustizia sta per prendere proprio in merito all’istituto del matrimonio. Nel messaggio ai vescovi, firmato da Cordileone e da monsignor Malone, si fa presente che questa decisione della Corte ha la stessa portata di quella che fu presa nel caso Roe vs. Wade che dichiarò l’aborto un diritto. Ora la posta in palio riguarda la necessità di preservare la definizione legale di matrimonio come unione tra un uomo e una donna.
I cento firmatari incolpano monsignor Cordileone di avere uno stile pastorale ed un linguaggio troppo duri su certi temi, e, per questo, sarebbe troppo distante dallo stile inclusivo del Papa. A questo punto sarebbe interessante capire se hanno letto l’ultimo intervento del Pontefice a proposito dell’ideologia gender. Perché potrebbero avere qualche sorpresa.
Si dà il caso che il prelato sia il presidente del Comitato di Difesa del matrimonio della Conferenza episcopale americana, e in California è noto per il suo coraggio nel difendere l’istituto matrimoniale da ogni ideologia che tenti di indebolirlo o mistificarlo. Ma, non solo. Recentemente l’arcivescovo Cordileone è salito agli onori della cronaca perché ha rivisto il contratto degli insegnanti delle scuole cattoliche, inserendo il rispetto di alcuni punti di dottrina, cioè quelli riferiti alla morale sessuale, alla contraccezione e all'uso delle cellule staminali. Per questo ha già subito violenti attacchi, perfino sul New York Times.
Ora arriva questa richiesta di “rimozione” indirizzata direttamente al Papa e che accusa il vescovo, tra l'altro, di aver favorito sacerdoti che “ostacolano la partecipazione delle donne nella Chiesa escludendo le ragazze dal servizio all'altare”; di avere un' agenda “monotematica” contro le unioni tra persone dello stesso sesso; e di non ascoltare i sacerdoti anziani della propria diocesi. “Sembra”, ha dichiarato Frank Pitre, un avvocato firmatario, “che stia andando in una direzione che è completamente opposta a quella di Papa Francesco e sta creando un clima di intolleranza totale”.
Nibby Brothers, un'altra firmataria, dice che monsignor Cordileone “sta solo causando un sacco di discordia, specialmente tra i giovani della diocesi”. A titolo di cronaca possiamo ricordare che la diocesi in questione, quella di San Francisco, era conosciuta come una delle più liberal degli States prima della nomina di Cordileone.
Il problema, secondo la Brothers, sarebbe proprio nel messaggio promosso dal vescovo, una pastorale che allontanerebbe i fedeli in quanto in disaccordo rispetto a come le pecorelle di San Francisco “conducono la loro vita”. Quindi, secondo queste opinioni, sembra debba essere il mondo a dettare l’agenda della Chiesa, e favorire così non lo sviluppo, ma una vera e propria evoluzione del dogma.
Dalla diocesi è scaturito un comunicato molto chiaro che rileva come questo annuncio a mezzo stampa sia inficiato da “un travisamento dell'insegnamento cattolico, un travisamento della natura del contratto degli insegnanti, e un travisamento dello spirito dell'arcivescovo”. E, conclude il comunicato, “il più grande travisamento di tutti è che i firmatari presumono di parlare per la Comunità cattolica di San Francisco”.
Fedele alla linea, monsignor Cordileone, che tra l’altro è uno dei quattro membri americani per il prossimo sinodo di ottobre, è uno dei principali promotori della prossima “March for marriage” (Marcia per il Matrimonio) che si terrà il 25 aprile a Washington. La marcia viene promossa dalla Conferenza episcopale a stelle e strisce, con l’intento di far sentire la voce dei cattolici in merito ad un'importante decisione che la Suprema Corte di Giustizia sta per prendere proprio in merito all’istituto del matrimonio. Nel messaggio ai vescovi, firmato da Cordileone e da monsignor Malone, si fa presente che questa decisione della Corte ha la stessa portata di quella che fu presa nel caso Roe vs. Wade che dichiarò l’aborto un diritto. Ora la posta in palio riguarda la necessità di preservare la definizione legale di matrimonio come unione tra un uomo e una donna.
I cento firmatari incolpano monsignor Cordileone di avere uno stile pastorale ed un linguaggio troppo duri su certi temi, e, per questo, sarebbe troppo distante dallo stile inclusivo del Papa. A questo punto sarebbe interessante capire se hanno letto l’ultimo intervento del Pontefice a proposito dell’ideologia gender. Perché potrebbero avere qualche sorpresa.
La sinistra di Maometto
Ecco alcune notizie degli ultimi giorni:
Rispose: “Io penso che l’Europa o ridiventerà cristiana o diventerà musulmana. Ciò che mi pare senza avvenire è la ‘cultura del niente’, della libertà senza limiti e senza contenuti, dello scetticismo vantato come conquista intellettuale, che sembra essere l’atteggiamento dominante nei popoli europei, più o meno tutti ricchi di mezzi e poveri di verità. Questa ‘cultura del niente’ (sorretta dall’edonismo e dalla insaziabilità libertaria) non sarà in grado di reggere all’assalto ideologico dell’islam che non mancherà: solo la riscoperta dell’avvenimento cristiano come unica salvezza per l’uomo – e quindi solo una decisa risurrezione dell’antica anima dell’Europa – potrà offrire un esito diverso a questo inevitabile confronto”.
Biffi concluse che “i ‘laici’, osteggiando in tutti i modi la Chiesa, non si accorgono di combattere l’ispiratrice più forte e la difesa più valida della civiltà occidentale e dei suoi valori di razionalità e di libertà: potrebbero accorgersene troppo tardi”.
Antonio Socci - Da “Libero”, 19 aprile 2015
1) la strage di 147 studenti cristiani compiuta dagli islamisti
all’Università di Garissa in Kenya;
2) le minacciose invettive del presidente islamico turco per l’evocazione
da parte di papa Bergoglio del “genocidio” di un milione e mezzo di cristiani
armeni, un secolo fa;
3) un ragazzo bruciato vivo in Pakistan perché cristiano;
4) i combattenti islamisti in Siria bombardano i quartieri cristiani di
Aleppo facendo decine di morti;
5) secondo alcune notizie dalla Nigeria, le 200 studentesse cristiane
rapite da Boko Aram sarebbero state uccise;
6) quindici migranti islamici fermati dalla polizia a Palermo per aver
buttato in mare dodici migranti cristiani a causa della loro fede.
E’ un orrore che va avanti da tempo. Ricordo un numero della rivista di
geopolitica “Limes” che già nel 2000 scriveva: “Il cristianesimo è la
religione più perseguitata del mondo. Conta migliaia di vittime; i suoi fedeli
subiscono torture e umiliazioni di ogni tipo. Ma l’opinione pubblica
occidentale… non concede a questo dramma alcuna attenzione”.
Ha un bel chiedere – in questi giorni – Lucia Annunziata “dov’è la
sinistra” davanti al massacro degli studenti cristiani in Kenya. La risposta è
“non pervenuta”.
VICINANZA ALL’ISLAM
Del resto l’opinione pubblica che conta, quella sinistra liberal o ancora
marxisteggiante che dilaga sui media e nelle istituzioni scolastiche, manifesta
di frequente disprezzo verso quei principi e quella storia cristiana su cui
sono fondati la nostra libertà e il nostro benessere. L’Europa tecnocratica poi
sembra smaniosa di cancellare le tracce di tutto ciò che è cristiano (in
Francia siamo al ridicolo: si epura perfino la toponomastica).
Si progettano pure disegni di legge che potrebbero limitare proprio la
libertà di espressione dei cristiani magari in nome delle nuove bandiere
ideologiche della sinistra, come l’omofobia.
Ma la stessa sinistra che qua è pronta a fare le barricate per i cosiddetti
“diritti civili” appare muta di fronte – non dico ai cristiani perseguitati –
ma all’umiliante condizione delle donne nei paesi islamici e al brutale
trattamento lì riservato alle persone omosessuali.
L’astioso pregiudizio contro il cristianesimo delle élite “progressiste” va
di pari passo con il loro benevolo pregiudizio verso l’Islam. Del quale non si
vogliono riconoscere nemmeno i massacri.
D’altronde cosa fece la Sinistra marxista di un tempo con i crimini del
comunismo? Negò quelle atrocità finché poté, poi pretese di ridurli a
degenerazioni locali, scomunicando chi riteneva che invece il problema fosse lo
stesso marxismo-leninismo.
Oggi la Sinistra progressista vuol farci credere che il terrorismo non
c’entra niente con l’Islam. E ignora le stragi (soprattutto di cristiani) che
hanno costellato tutta la storia dell’Islam e della sua sanguinosa espansione.
Si arriva al punto di
capovolgere la storia e far passare i cristiani per aggressori evocando a
rovescio le crociate (le quali tentarono semplicemente di limitare i danni
dell’invasione islamica di terre cristiane).
L’ignoranza storica si accompagna alla cecità ideologica, perché l’Islam
più che una religione come il cristianesimo, è una teologia politica come il
marxismo.
Il laicissimo Bertrand Russel in un suo saggio sul bolscevismo scriveva che
fra le religioni il bolscevismo doveva essere paragonato piuttosto all’Islam
che al cristianesimo. Quest’ultimo infatti è una religione personale con una
sua spiritualità, una mistica, una teologia. Invece “Islamismo e Bolscevismo
sono religioni pratiche, sociali, non spirituali, impegnate a conquistare il
dominio del mondo terreno. I loro fondatori non avrebbero resistito alla terza
tentazione nel deserto di cui parla il Vangelo”.
L’Islam infatti comporta un’ideologia totalitaria simile al comunismo, ma
anche al fascismo e al nazismo (Eric Voegelin ha ampiamente mostrato che sono
diverse maschere riemergenti della gnosi).
Come ha spiegato Samir Khalil Samir, “l’Islam nasce fin dall’inizio come
progetto socio-politico e anche militare: ciò è evidente sia nel Corano sia
nella sunna, nella tradizione che include la vita e i detti di Maometto. Per un
musulmano religione e politica sono indissolubili”.
DOMINIO
Maometto è stato un formidabile condottiero e ha fondato una teologia
politica universalista funzionale alla conquista dell’Arabia e poi al dominio
del mondo.
A chi crede che oggi il problema sia rappresentato solo da pochi
fondamentalisti violenti e non dall’Islam in sé, risponde Samuel Huntington:
“Millequattrocento anni di storia dimostrano il contrario. L’Islam è l’unica
civiltà ad aver messo in serio pericolo, e per ben due volte, la sopravvivenza
dell’Occidente”.
“Per quasi mille anni” aggiunge Bernard Lewis “dal primo sbarco moresco in
Spagna al secondo assedio turco di Vienna, l’Europa è stata sotto la costante
minaccia dell’Islam”.
Credere che siano cose del passato o limitate – oggi – ad Al Qaeda e
all’Isis è da illusi (del resto chi ha inventato e sostiene l’Isis?). L’Islam per sua natura punta al mondo intero.
Monsignor Bernardini, arcivescovo di Smirne, al Sinodo dei vescovi del 1999
riferì: “Durante un incontro ufficiale sul dialogo islamo-cristiano, un
autorevole personaggio musulmano, rivolgendosi ai partecipanti cristiani, disse
a un certo punto con calma e sicurezza: ‘Grazie alle vostre leggi
democratiche vi invaderemo; grazie alle nostre leggi religiose vi domineremo’ ”.
Hanno già cominciato con l’enorme pressione dei grandi capitali
petroliferi, da una parte, e con l’immigrazione incontrollata dall’altra. Una
tenaglia che già si stringe sull’Inghilterra, come pure sulla Francia (vedi il
romanzo “Sottomissione” di Houellebecq).
Quanto all’Italia il pensiero dominante ha emarginato una voce profetica
come quella di Oriana Fallaci. Chissà come avrebbe tuonato – lei che era stata
partigiana – sapendo della controversia sul 25 aprile di quest’anno fra la
presenza delle insegne della “Brigata ebraica” (che partecipò alla liberazione
dell’Italia) e la bandiera palestinese che “non ha nulla a che vedere con le
truppe Alleate e in quel momento storico” ha ricordato Pacifici “era dalla
parte dell’occupante”.
IL METODO BIFFI
Oltre alla Fallaci è rimasta inascoltata la voce del cardinale Biffi. Ecco
le sue parole del 2000: “Oggi è in atto una delle più gravi e ampie
aggressioni al cristianesimo (e quindi alla realtà di Cristo) che la storia
ricordi. Tutta l’eredità del Vangelo viene progressivamente ripudiata
dalle legislazioni, irrisa dai ‘signori dell’opinione’, scalzata dalle
coscienze specialmente giovanili. Di tale ostilità, a volte violenta a
volte subdola, non abbiamo ragione di stupirci”, perché era stato profetizzato
nel Vangelo, “ci si può meravigliare invece degli uomini di Chiesa che non
sanno o non vogliono prenderne atto”.
Poi Biffi ricordò una sua intervista di alcuni anni prima, dove gli fu
chiesto: “Ritiene anche lei che l’Europa sarà cristiana o non sarà?”.Rispose: “Io penso che l’Europa o ridiventerà cristiana o diventerà musulmana. Ciò che mi pare senza avvenire è la ‘cultura del niente’, della libertà senza limiti e senza contenuti, dello scetticismo vantato come conquista intellettuale, che sembra essere l’atteggiamento dominante nei popoli europei, più o meno tutti ricchi di mezzi e poveri di verità. Questa ‘cultura del niente’ (sorretta dall’edonismo e dalla insaziabilità libertaria) non sarà in grado di reggere all’assalto ideologico dell’islam che non mancherà: solo la riscoperta dell’avvenimento cristiano come unica salvezza per l’uomo – e quindi solo una decisa risurrezione dell’antica anima dell’Europa – potrà offrire un esito diverso a questo inevitabile confronto”.
Biffi concluse che “i ‘laici’, osteggiando in tutti i modi la Chiesa, non si accorgono di combattere l’ispiratrice più forte e la difesa più valida della civiltà occidentale e dei suoi valori di razionalità e di libertà: potrebbero accorgersene troppo tardi”.
Antonio Socci - Da “Libero”, 19 aprile 2015
20 aprile: Sant’Agnese Segni di Montepulciano
Agnese Segni nacque il 28 gennaio 1268 a Gracciano, piccolo borgo nei pressi di Montepulciano. Agnese sentì fin da piccola il fascino delle cose spirituali e durante una visita con i suoi familiari a Montepulciano vide le suore del "sacco", chiamate così per il rustico sacco che vestivano.
Con appena nove anni, chiese di essere ammessa in convento dove fu subito accolta. A Montepulciano restò solo il tempo necessario per la formazione religiosa di base.
Nel 1233, gli amministratori del castello di Proceno, feudo orvietano (oggi in provincia di Viterbo), si recarono a Montepulciano per chiedere l'invio di alcune suore nel loro territorio e Agnese fu tra le prescelte.
Agnese, seppur molto giovane, fu nominata superiora del monastero, per le sue doti di umiltà e il grande amore per la preghiera, per lo spirito di sacrificio (per quindici anni visse di pane ed acqua) e per l'ardente amore verso Gesù Eucaristia.
A Proceno, Agnese ricevette dal Signore il dono dei miracoli: i possessi o gli ossessionati venivano liberati solo al suo avvicinarsi, moltiplicò in più occasioni il pane e malati gravi riacquistarono la salute. Ma nei ventidue anni che resto a proceno non mancarono le tribolazioni: gravi sofferenze fisiche la tormentarono per lunghi periodi.
Nella primavera del 1306 fu richiamata a Montepulciano, dove fa iniziare la costruzione di una chiesa, come chiestogli da Maria in una visione avuta alcuni anni prima in cui la Vergine le donò tre piccole pietre a questo scopo. In un'altra visione, san Domenico spinge Agnese a fare adottare alle sue suore la regola di sant'Agostino e ad aggregarsi all'ordine domenicano per l'assistenza religiosa e la cura spirituale. Numerose furono le occasioni in cui Agnese intervenne in città come paciere e risolutrice delle controversie nelle lotte tra le famiglie nobili della località.
Nel 1316 Agnese, su invito del medico e dietro le pressioni delle consorelle si recò a Chianciano, per curarsi alle terme. La sua presenza fu d'aiuto ai numerosi malati presenti nella località e Agnese operò numerosi miracoli, ma le cure termali non portarono alcun giovamento alla sua malattia, che peggiorò.
Rientrata a Montepulciano, fu costretta a letto. Ormai in punto di morte Agense rincuorava le consorelle invitandole a rallegrarsi perché per lei era giunto il momento dell'incontro con Dio, ciò avvenne il 20 aprile 1317.
I frati e le suore domenicane volevano imbalsamare il corpo di Agnese e per questo motivo furono inviati dei signori a Genova per acquistare del balsamo, ma ciò non fu necessario: dalle mani e dai piedi della santa stillò infatti un liquido odoroso che impregnò i panni che coprivano il corpo della santa e ne furono raccolte alcune ampolle. L'eco del miracolo, richiamò numerosi ammalati, che desideravano essere unti dall'olio miracoloso.
Come scrisse il beato Raimondo da Capua, a distanza di cinquant'anni dalla morte della santa, il suo corpo era ancora intatto, come se Agnese fosse appena morta, e molti erano i miracoli di guarigione che avvenivano nella chiesa, che ormai era conosciuta come "chiesa di sant'Agnese", ma si guariva anche non appena fatto voto di recarsi a visitare la stessa. Di questi miracoli si ha anche una pubblica registrazione fatta da notai già a partire da pochi mesi dopo la morte della santa. (Maurizio Misinato)
terça-feira, 7 de abril de 2015
Supplica alla Madonna per la famiglia
O Madre fedele,
proteggi questa tua
famiglia: fa che
produca frutti di
amore, cresca in santità
e perseveri irrorata
dalla grazia celeste.
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