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sábado, 25 de abril de 2015

Preghiera di Sant'Antonio


 
Tu, stella del mare, illumina i tuoi figli travolti da questo tempestoso mare del peccato; facci giungere al porto sicuro del perdono e, lieti della tua protezione, possiamo portare a compimento la nostra vita. (Sant’Antonio)

25 aprile: San Marco


La storia di Marco (di Giovanni, suo nome ebraico, detto Marco, nome latino; cf. Act. 12, 12) è interessantissima; s’intreccia forse con quella di Gesù, nell’episodio del ragazzo che, nella notte della cattura di Lui nell’orto degli ulivi, lo seguiva, dopo la fuga dei discepoli, coperto da un lenzuolo - per curiosità? per devozione? - ma quando coloro che avevano arrestato Gesù, fecero per afferrarlo, il ragazzo lasciò loro nelle mani il lenzuolo, e sgusciò via da loro (Marc. 14, 52). Ma soprattutto la storia di Marco si fonde con quella degli Apostoli: Paolo e Barnaba, specialmente, che egli segue a Cipro nella prima spedizione apostolica (era cugino di Barnaba), e che poi, forse stanco, forse impaurito, giunto a Perge, nella Pamfilia, egli abbandona per ritornarsene solo da sua madre, a Gerusalemme (Act. 13, 13). Paolo ne fu addolorato; tanto che non lo volle compagno, tre o quattro anni dopo, nel secondo viaggio, nonostante che Barnaba intercedesse; così che Barnaba e Marco lasciarono Paolo con Sila per navigare a Cipro (Act. 15, 37-40). Ma poi Paolo deve aver perdonato a Marco la sua prima infedeltà nella fatica apostolica, perché tre volte lo nomina amorevolmente nelle sue lettere (Philem. 24; Col. 4, 10; 2 Tim. 4, 11).

Secondo un’antichissima testimonianza del secondo secolo, quella di Papia, riportata da Eusebio nella sua Storia della Chiesa (III, 39, 15), Marco «era stato l’interprete di Pietro».

E dei rapporti fra l’apostolo Pietro e Marco, poco sappiamo; ma ci basta qui far nostra la conclusione della tradizione e degli studi moderni: il Vangelo di San Marco è una riproduzione scritta della catechesi narrativa dell’apostolo Pietro a Roma; esso riflette, senza intenti letterari, ma con grande semplicità e vivezza di particolari, i racconti di S. Pietro circa le memorie di lui; la sua documentazione è principalmente, se non la sola, la parola stessa dell’Apostolo, riportata come la relazione genuina d’un testimonio oculare, che conserva di Gesù la più immediata impressione.

Perciò San Marco ci ha lasciato in brevi pagine disadorne e non sempre ordinate, ma estremamente sincere e vive, l’immagine di Cristo, come San Pietro la ricordava e la portava scolpita nella semplicità fedele, umile ed entusiasta del suo cuore, realisticamente. Ecco perché ci è caro San Marco: egli ci riporta il profilo di Cristo, nello sfondo del disegno sinottico primitivo (cf. Vannutelli), visto da San Pietro. E San Pietro, offrendoci la visione sensibile e scenica di Cristo, c’introduce alla conoscenza di Cristo quale veramente è; una conoscenza che solo la fede in qualche modo può afferrare e penetrare.

Poco altro sappiamo di San Marco; da Roma egli si recò in Egitto e fu il fondatore riconosciuto della Chiesa di Alessandria; le sue reliquie, Venezia gloriosa e devota le custodisce; ma il suo Vangelo di qua soprattutto rifulge, dove Pietro e Paolo, suoi maestri, fecero di Marco l’Evangelista contrassegnato dal simbolo del leone. (Papa Paolo VI)

sexta-feira, 24 de abril de 2015

Giaculatoria del giorno


 
Tu, che hai conservato in cuore le meraviglie operate da Dio, fa che accogliamo la Buona Novella per renderle testimonianza ovunque. Madre Santa, aiutaci a vivere di Cristo e ad essere sempre ed ovunque portatori d'unità e pace.

Y a-t-il une vie spirituelle à l’ère d’Internet ?


D’un côté, les cours de latin-grec. De l’autre, les prêtres. Les rapprocher serait incongru, penserez-vous… Il existe pourtant des similitudes étonnantes. Aux yeux de notre société ultra-connectée et marchande, tous deux semblent devenus dérangeants. Des étrangetés. Car, en apparence, ils ne servent à rien, ne produisent rien qui puisse être vendu, ou réduit à un slogan. Au point que l’Éducation nationale envisage sérieusement de supprimer les cours de langues « mortes » au profit de l’anglais. Et que l’esprit du temps souhaite à tout prix marier les prêtres, pour qu’ils soient enfin comme tout le monde ! Voilà qui résoudrait, croit-on encore, la crise des vocations…

Sauf que, de l’autre côté de l’Atlantique, où la liberté de l’enseignement prévaut, les latinistes et hellénistes les plus doués sont des recrues de choix à Harvard, pour leur non-conformisme intellectuel : plus imaginatifs et affranchis de la logique binaire. « L’originalité est un retour aux sources », disait déjà Gustave Thibon.

Toujours aux États-Unis, l’Église assiste à un réveil surprenant des vocations sacerdotales, avec leur radicalité d’une vie totalement donnée. En 2015, les ordinations devraient faire un bond de 25 % par rapport à l’an dernier ! Paradoxe : c’est aussi le pays qui a été le plus affecté par la crise des abus sexuels.

Le pays du libéralisme, y compris moral, pionnier de l’économie numérique et champion de la surconsommation, aurait-il développé, dans sa démesure, les anticorps nécessaires à la survie d’une certaine idée de l’homme ? « Là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve », affirme le poète Hölderlin.

Ce qui est en jeu, c’est de préserver la dimension de l’homme la plus niée aujourd’hui : la vie de l’esprit, nourrie par la culture et la foi. La question n’est donc pas celle du progrès, mais du progrès sans âme. Ce que réalise Internet, c’est une capacité inégalée à toucher une multitude en un temps record. Mais ce qui est gagné en surface ne doit pas être perdu en profondeur. Il faudra toujours du temps à l’esprit humain pour assimiler des connaissances, les intérioriser, et en faire une mémoire vécue, ayant sens et profondeur. C’est ici qu’interviennent le latin et le grec, langues chargées d’histoire. De notre histoire. En les supprimant, ce sont nos racines que l’on arracherait.

Ce qui est gagné en surface ne doit pas être perdu en profondeur.

En revanche, là où le prêtre se montre supérieur au latin, c’est qu’il ne se contente pas de raviver notre mémoire. À travers les siècles, il nous ramène à la source créatrice. Par l’eucharistie, il nous met au contact avec la parole divine, dans sa fraîcheur toujours nouvelle. Voilà sans doute pourquoi un évêque, saint Isidore, est le saint patron des internautes. Au VIIe siècle, il a réuni un savoir encyclopédique. Mais il affirmait que « tout progrès vient de la lecture et de la méditation. Car la prière nous purifie, la lecture nous instruit ». (Famille Chrétienne, 21/04/2015, Aymeric Pourbaix)

Cardinal Parolin : sensibiliser les migrants au danger de l’exil


Dans un entretien au quotidien italien La Stampa (22 avril 2015), le secrétaire d’État du Saint-Siège estime que l’Église catholique: « pourrait aussi faire une œuvre de persuasion majeure, faisant prendre conscience des graves risques auxquels sont confrontés les réfugiés ».

Parmi les survivants des traversées périlleuses « l’un pensait que la Méditerranée fusse seulement un fleuve » : « Beaucoup ne savent pas ce à quoi ils font face ou ont été trompés. »

Le cardinal considère que l'Italie ne peut gérer seul en Europe ce phénomène et appelle à « créer dans les pays de provenance les conditions qui permettent de rester et non de favoriser l’exode ».

En France, l'étude de l'islam sera obligatoire, mais celle du christianisme médiéval facultative


L'Education nationale a en effet mis au point de nouveaux programmes d'histoire pour le collège. On saluera le souci de ne pas faire «disparaître de cet enseignement le cadre national ni la perspective chronologique propre à l'histoire». Alors que la France se divise en communautés disparates sans parvenir à forger une destinée et une fierté communes, on approuvera aussi la visée poursuivie par ces nouveaux programmes: «Dans un ordre chronologique, le programme permet de mieux lire et comprendre le monde d'aujourd'hui en insistant sur des moments forts, des traits marquants des sociétés du passé et des problématiques indispensables à la formation du citoyen.»

C'est en parcourant ensuite la liste des sujets abordés que l'inquiétude surgit: le Conseil supérieur des programmes (CSP) distingue les sujets «obligatoirement étudiés» des sujets «traités au choix de l'enseignant». Ainsi, l'étude de l'Islam sera obligatoire, mais celle du christianisme médiéval facultative - ceux qui choisiront de l'enseigner devront le faire uniquement sous l'angle de l' «emprise de l'Eglise sur les mentalités rurales». Dans une société en mal d'intégration et de cohésion nationale, on ne manquera pas de s'étonner d'une curiosité si grande pour les religions venues d'ailleurs, et d'une révulsion si manifeste pour nos racines judéo-chrétiennes. N'est-ce pas pourtant en redonnant à l'élève ces racines que nous le rendrons d'autant plus ouvert à l'altérité? Par ailleurs, où est-il passé, ce «cadre national» que le CSP évoquait précédemment?

Il apparaît ensuite, nous objectera-t-on. C'est vrai, le cadre national est abordé à travers l'étude obligatoire des heures sombres ou controversées du passé (esclavage, colonisation, génocides, déportation…). En revanche, l'enseignement de l'humanisme et des Lumières, problématiques qu'on croirait pourtant «indispensables à la formation du citoyen», n'est que facultatif. Nos repères communs seront donc extraits des cultures venues d'ailleurs et des tragédies de notre histoire. Plutôt que d'amener l'élève à puiser à la source du christianisme, de l'humanisme et des Lumières, le CSP préfère écouler ses stocks de repentance amère et éculée.

Il ne s'agit pas ici de mettre en cause l'importance du «devoir de mémoire» ; nous affirmons seulement que la mémoire ne formera le citoyen qu'à condition de l'inspirer et de le libérer, en lui proposant le terreau vivant d'une action positive et généreuse. Plutôt que de séquestrer l'élève dans l'obscurité des fautes et des blessures passées, que ne lui propose-t-on des épopées nationales, des modèles, des figures de courage, d'unité et de résistance, dans lesquels il pourra puiser des valeurs incarnées? Les jeunes générations ont droit, aujourd'hui, à se fondre dans une histoire de France qu'ils pourront enfin connaître et admirer.

Or, loin d'évoquer les plus belles pages de notre histoire, le CSP entend une nouvelle fois enfermer l'élève dans le culte de la culpabilité et de la haine de soi. Le fait n'est pas nouveau: il y a bien longtemps que l'enseignement de l'histoire se fourvoie chez nous dans un travail de sape et d'auto-flagellation prodigieusement masochiste. Avec la réforme du collège, un nouveau cap est franchi. Ne cherchez plus la crise de la France: elle est là, dans ce retournement de soi contre soi." (Madeleine Bazin de Jessey, Figaro Vox, 22 avril 2015)

Cuarenta y cinco británicas tomaron los votos en 2014 en le Reino Unido, el triple que hace cinco años


Crece el número de monjas británicas
Primavera vocacional en Inglaterra

El número de mujeres que se convirtieron en monjas en el Reino Unido en 2014 fue el más alto en 25 años, según cifras difundidas este jueves por la Iglesia católica. Cuarenta y cinco británicas tomaron los votos ese año, el triple que hace cinco años, en contraste con la tendencia mundial a la baja. De todos modos, la Iglesia católica británica no espera que las cosas vuelvan a ser como antes.

"Nunca volveremos al lugar en el que estábamos hace 50 años, la cultura católica ocupaba un lugar muy diferente", ha asegurado la hermana Cathy Jones, promotora de vocaciones religiosas de la Iglesia católica británica.

Pero el hecho de que sean las mejores cifras en 25 años, "significa que como generación hemos superado lo peor", ha añadido. (RD/Agencias, 24 de abril de 2015)

Comunione per farci santi


Una sola Santa Comunione è sufficiente per farsi santi. Tutto dipende dalle disposizioni interiori, dalla preparazione. Metà della giornata dedicata alla preparazione, l'altra metà al ringraziamento.
Talvolta una Comunione spirituale porta con sé le medesime grazie di quella sacramentale. Nelle difficoltà (ripeti) spesso: "Mio Dio e mio tutto. (S.Massimiliano Kolbe)


O fede cattolica, salda, forte e ben radicata, il tuo fondamento è una roccia sicura! (cfr. Mt 7, 25). Il cielo e la terra passeranno, ma tu non passerai. Tutto il mondo da principio ti si oppose, ma tu hai trionfato su tutto con forza invincibile.
«Questa è la vittoria che ha sconfitto il mondo: la nostra fede» (1Gv 5, 4). Essa ha sottomesso re potentissimi alla signoria di Cristo, ha portato i popoli all’obbedienza di Cristo. Che cosa ha dato ai santi apostoli e ai martiri la forza di sopportare lotte crudeli e pene acerbissime, se non la fede, e soprattutto la fede nella risurrezione?
Che cosa ha dato agli anacorèti il coraggio di disprezzare le delizie e gli onori, di calpestare le ricchezze, di vivere in verginità e nel deserto, se non una fede viva?
Che cosa oggi fa sì che i veri cristiani rinunzino alle comodità, abbandonino i piaceri, sopportino dolori, e sostengano fatiche? La viva fede, operante per la carità (cfr. Gal 5, 6) fa abbandonare i beni presenti con la speranza dei futuri, e con i futuri fa cambiare i presenti. (Papa Benedetto XIV, elogio di San Fedele da Sigmaringen)

24 aprile: San Fedele da Sigmaringen


Nato da una famiglia di origine fiamminga, Marco Reyd, così era il suo nome al secolo, studiò dapprima presso il collegio gesuita di Friburgo, dove si laureò in filosofia, poi presso l'università della stessa città, dove conseguì il dottorato in utroque jure (il 7 maggio 1611). Iniziò a dedicarsi all'attività forense, ma rimase presto deluso da quella professione, così l'anno seguente decise di entrare, insieme a suo fratello, tra i cappuccini del convento di Friburgo (4 ottobre 1612, prendendo il nome di Fedele) e venne ordinato sacerdote. Approfonditi gli studi teologici a Costanza, divenne anche Padre guardiano del convento di Rheinfelden, poi di quello di Friburgo e infine di quello di Feldkirch.

Divenne presto celebre a causa di alcuni pamphlet anti-calvinisti ed anti-zwingliani (che non sono stati conservati), tanto che il vescovo di Coira nel 1614 gli richiese di formare un gruppo di frati missionari per cercare di contenere il dilagare delle idee protestanti nella sua diocesi. Fedele da Sigmaringen accolse la richiesta solo nel 1621 e l'anno seguente la pontificia Congregazione de Propaganda Fide (appena istituita) lo nominò Superiore delle missioni nei Grigioni: percorse tutta la regione predicando e suscitando conversioni, soprattutto durante la quaresima del 1622.

Il 24 aprile dello stesso anno, uscito di chiesa dove aveva appena terminato di celebrare la messa, venne aggredito della folla insieme a un gruppo di soldati austriaci e ucciso. La diffusione delle dottrine riformate nella regione, infatti, era avvenuta soprattutto in funzione anti-asburgica ed autonomista: allo stesso modo, l'Impero sosteneva il cattolicesimo soprattutto allo scopo di tutelare l'integrità del suo territorio e la supremazia della casa d'Austria. Fu canonizzato nel 1746 dal papa Benedetto XIV.