Tu, stella
del mare, illumina i tuoi figli travolti da questo tempestoso mare del peccato;
facci giungere al porto sicuro del perdono e, lieti della tua protezione, possiamo
portare a compimento la nostra vita. (Sant’Antonio)
O cristianismo não é uma coisa do passado, vivido como se olhássemos sempre para trás, para os tempos evangélicos, mas sempre novo, pois está marcado pela presença constante de Jesus Cristo, que está no meio de nós, e que é de hoje, ontem, amanhã e toda a eternidade. Na história da humanidade, encontramos “pegadas” de Deus. Este blogue procura, humildemente, mostrar alguma delas.
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sábado, 25 de abril de 2015
25 aprile: San Marco
La storia di Marco (di Giovanni, suo nome
ebraico, detto Marco, nome latino; cf. Act. 12, 12) è interessantissima;
s’intreccia forse con quella di Gesù, nell’episodio del ragazzo che, nella
notte della cattura di Lui nell’orto degli ulivi, lo seguiva, dopo la fuga dei
discepoli, coperto da un lenzuolo - per curiosità? per devozione? - ma quando
coloro che avevano arrestato Gesù, fecero per afferrarlo, il ragazzo lasciò
loro nelle mani il lenzuolo, e sgusciò via da loro (Marc. 14, 52). Ma
soprattutto la storia di Marco si fonde con quella degli Apostoli: Paolo e
Barnaba, specialmente, che egli segue a Cipro nella prima spedizione apostolica
(era cugino di Barnaba), e che poi, forse stanco, forse impaurito, giunto a
Perge, nella Pamfilia, egli abbandona per ritornarsene solo da sua madre, a
Gerusalemme (Act. 13, 13). Paolo ne fu addolorato; tanto che non lo volle
compagno, tre o quattro anni dopo, nel secondo viaggio, nonostante che Barnaba
intercedesse; così che Barnaba e Marco lasciarono Paolo con Sila per navigare a
Cipro (Act. 15, 37-40). Ma poi Paolo deve aver perdonato a Marco la sua prima
infedeltà nella fatica apostolica, perché tre volte lo nomina amorevolmente
nelle sue lettere (Philem. 24; Col. 4, 10; 2 Tim. 4, 11).
Secondo un’antichissima testimonianza del
secondo secolo, quella di Papia, riportata da Eusebio nella sua Storia della
Chiesa (III, 39, 15), Marco «era stato l’interprete di Pietro».
E dei rapporti fra l’apostolo Pietro e
Marco, poco sappiamo; ma ci basta qui far nostra la conclusione della
tradizione e degli studi moderni: il Vangelo di San Marco è una riproduzione
scritta della catechesi narrativa dell’apostolo Pietro a Roma; esso riflette,
senza intenti letterari, ma con grande semplicità e vivezza di particolari, i
racconti di S. Pietro circa le memorie di lui; la sua documentazione è
principalmente, se non la sola, la parola stessa dell’Apostolo, riportata come
la relazione genuina d’un testimonio oculare, che conserva di Gesù la più
immediata impressione.
Perciò San Marco ci ha lasciato in brevi
pagine disadorne e non sempre ordinate, ma estremamente sincere e vive,
l’immagine di Cristo, come San Pietro la ricordava e la portava scolpita nella
semplicità fedele, umile ed entusiasta del suo cuore, realisticamente. Ecco
perché ci è caro San Marco: egli ci riporta il profilo di Cristo, nello sfondo
del disegno sinottico primitivo (cf. Vannutelli), visto da San Pietro. E San
Pietro, offrendoci la visione sensibile e scenica di Cristo, c’introduce alla
conoscenza di Cristo quale veramente è; una conoscenza che solo la fede in
qualche modo può afferrare e penetrare.
Poco altro sappiamo di San Marco; da Roma
egli si recò in Egitto e fu il fondatore riconosciuto della Chiesa di
Alessandria; le sue reliquie, Venezia gloriosa e devota le custodisce; ma il
suo Vangelo di qua soprattutto rifulge, dove Pietro e Paolo, suoi maestri,
fecero di Marco l’Evangelista contrassegnato dal simbolo del leone. (Papa Paolo VI)
sexta-feira, 24 de abril de 2015
Giaculatoria del giorno
Tu, che hai
conservato in cuore le meraviglie operate da Dio, fa che accogliamo la Buona
Novella per renderle testimonianza ovunque. Madre Santa, aiutaci
a vivere di Cristo e ad essere sempre ed ovunque portatori d'unità e pace.
Y a-t-il une vie spirituelle à l’ère d’Internet ?
D’un
côté, les cours de latin-grec. De l’autre, les prêtres. Les rapprocher serait incongru,
penserez-vous… Il existe pourtant des similitudes étonnantes. Aux yeux de notre
société ultra-connectée et marchande, tous deux semblent devenus dérangeants. Des étrangetés. Car, en apparence, ils ne
servent à rien, ne produisent rien qui puisse être vendu, ou réduit à un
slogan. Au point que l’Éducation nationale envisage sérieusement de supprimer
les cours de langues « mortes » au profit de l’anglais. Et que l’esprit du
temps souhaite à tout prix marier les prêtres, pour qu’ils soient enfin comme
tout le monde ! Voilà qui résoudrait, croit-on encore, la crise des vocations…
Sauf que, de
l’autre côté de l’Atlantique, où la liberté de l’enseignement prévaut, les
latinistes et hellénistes les plus doués sont des recrues de choix à Harvard,
pour leur non-conformisme intellectuel : plus imaginatifs et affranchis de la
logique binaire. « L’originalité
est un retour aux sources », disait déjà Gustave Thibon.
Toujours
aux États-Unis, l’Église assiste à un réveil surprenant des vocations
sacerdotales, avec leur radicalité d’une vie totalement donnée. En 2015, les
ordinations devraient faire un bond de 25 % par rapport à l’an dernier !
Paradoxe : c’est aussi le pays qui a été le plus affecté par la crise des abus
sexuels.
Le pays du
libéralisme, y compris moral, pionnier de l’économie numérique et champion de
la surconsommation, aurait-il développé, dans sa démesure, les anticorps
nécessaires à la survie d’une certaine idée de l’homme ? « Là où croît le péril, croît aussi ce qui
sauve », affirme le poète Hölderlin.
Ce qui
est en jeu, c’est de préserver la dimension de l’homme la plus niée
aujourd’hui : la vie de l’esprit, nourrie par la culture et la foi. La question
n’est donc pas celle du progrès, mais du progrès sans âme. Ce que réalise
Internet, c’est une capacité inégalée à toucher une multitude en un temps
record. Mais ce qui est gagné en surface ne doit pas être perdu en profondeur.
Il faudra toujours du temps à l’esprit humain pour assimiler des connaissances,
les intérioriser, et en faire une mémoire vécue, ayant sens et profondeur.
C’est ici qu’interviennent le latin et le grec, langues chargées d’histoire. De
notre histoire. En les supprimant, ce sont nos racines que l’on arracherait.
Ce qui
est gagné en surface ne doit pas être perdu en profondeur.
En
revanche, là où le prêtre se montre supérieur au latin, c’est qu’il ne se
contente pas de raviver notre mémoire. À travers les siècles, il nous
ramène à la source créatrice. Par l’eucharistie, il nous met au contact avec la
parole divine, dans sa fraîcheur toujours nouvelle. Voilà sans doute pourquoi un évêque, saint
Isidore, est le saint patron des internautes. Au VIIe siècle, il a réuni un
savoir encyclopédique. Mais il affirmait que « tout progrès vient de la lecture
et de la méditation. Car
la prière nous purifie, la lecture nous instruit ». (Famille Chrétienne, 21/04/2015, Aymeric Pourbaix)
Cardinal Parolin : sensibiliser les migrants au danger de l’exil
Dans un
entretien au quotidien italien La Stampa (22 avril 2015), le secrétaire d’État
du Saint-Siège estime que l’Église catholique: « pourrait aussi faire une œuvre
de persuasion majeure, faisant prendre conscience des graves risques auxquels
sont confrontés les réfugiés ».
Parmi
les survivants des traversées périlleuses « l’un pensait que la Méditerranée
fusse seulement un fleuve » : « Beaucoup ne savent pas ce à quoi ils font face
ou ont été trompés. »
Le
cardinal considère que l'Italie ne peut gérer seul en Europe ce phénomène et
appelle à « créer dans les pays de provenance les conditions qui permettent de
rester et non de favoriser l’exode ».
En France, l'étude de l'islam sera obligatoire, mais celle du christianisme médiéval facultative
L'Education
nationale a en effet mis au point de nouveaux programmes d'histoire pour le
collège. On saluera le souci de ne pas faire «disparaître de cet enseignement
le cadre national ni la perspective chronologique propre à l'histoire». Alors
que la France se divise en communautés disparates sans parvenir à forger une
destinée et une fierté communes, on approuvera aussi la visée poursuivie par
ces nouveaux programmes: «Dans un ordre chronologique, le programme permet de
mieux lire et comprendre le monde d'aujourd'hui en insistant sur des moments
forts, des traits marquants des sociétés du passé et des problématiques
indispensables à la formation du citoyen.»
C'est en
parcourant ensuite la liste des sujets abordés que l'inquiétude surgit: le
Conseil supérieur des programmes (CSP) distingue les sujets «obligatoirement
étudiés» des sujets «traités au choix de l'enseignant». Ainsi, l'étude de l'Islam sera obligatoire, mais
celle du christianisme médiéval facultative - ceux qui choisiront de
l'enseigner devront le faire uniquement sous l'angle de l' «emprise de l'Eglise
sur les mentalités rurales». Dans une société en mal d'intégration et de
cohésion nationale, on ne manquera pas de s'étonner d'une curiosité si grande
pour les religions venues d'ailleurs, et d'une révulsion si manifeste pour nos
racines judéo-chrétiennes. N'est-ce pas pourtant en redonnant à l'élève ces
racines que nous le rendrons d'autant plus ouvert à l'altérité? Par ailleurs,
où est-il passé, ce «cadre national» que le CSP évoquait précédemment?
Il apparaît
ensuite, nous objectera-t-on. C'est vrai, le cadre national est abordé à
travers l'étude obligatoire des heures sombres ou controversées du passé
(esclavage, colonisation, génocides, déportation…). En revanche, l'enseignement
de l'humanisme et des Lumières, problématiques qu'on croirait pourtant
«indispensables à la formation du citoyen», n'est que facultatif. Nos repères
communs seront donc extraits des cultures venues d'ailleurs et des tragédies de
notre histoire. Plutôt que d'amener l'élève à puiser à la source du
christianisme, de l'humanisme et des Lumières, le CSP préfère écouler ses
stocks de repentance amère et éculée.
Il ne
s'agit pas ici de mettre en cause l'importance du «devoir de mémoire» ; nous
affirmons seulement que la mémoire ne formera le citoyen qu'à condition de
l'inspirer et de le libérer, en lui proposant le terreau vivant d'une action
positive et généreuse. Plutôt que de séquestrer l'élève dans l'obscurité des
fautes et des blessures passées, que ne lui propose-t-on des épopées
nationales, des modèles, des figures de courage, d'unité et de résistance, dans
lesquels il pourra puiser des valeurs incarnées? Les jeunes générations ont
droit, aujourd'hui, à se fondre dans une histoire de France qu'ils pourront
enfin connaître et admirer.
Or,
loin d'évoquer les plus belles pages de notre histoire, le CSP entend une
nouvelle fois enfermer l'élève dans le culte de la culpabilité et de la haine
de soi. Le fait n'est pas nouveau: il y a bien longtemps que l'enseignement de
l'histoire se fourvoie chez nous dans un travail de sape et d'auto-flagellation
prodigieusement masochiste. Avec
la réforme du collège, un nouveau cap est franchi. Ne cherchez plus la crise de
la France: elle est là, dans ce retournement de soi contre soi." (Madeleine
Bazin de Jessey, Figaro Vox, 22 avril 2015)
Cuarenta y cinco británicas tomaron los votos en 2014 en le Reino Unido, el triple que hace cinco años
Crece
el número de monjas británicas
Primavera
vocacional en Inglaterra
El
número de mujeres que se convirtieron en monjas en el Reino Unido en 2014 fue
el más alto en 25 años, según cifras difundidas este jueves por la Iglesia
católica. Cuarenta y cinco británicas tomaron los votos ese año, el triple que
hace cinco años, en contraste con la tendencia mundial a la baja. De todos
modos, la Iglesia católica británica no espera que las cosas vuelvan a ser como
antes.
"Nunca
volveremos al lugar en el que estábamos hace 50 años, la cultura católica
ocupaba un lugar muy diferente", ha asegurado la hermana Cathy Jones,
promotora de vocaciones religiosas de la Iglesia católica británica.
Pero el
hecho de que sean las mejores cifras en 25 años, "significa que como
generación hemos superado lo peor", ha añadido. (RD/Agencias, 24 de abril de 2015)
Comunione per farci santi
Una sola Santa Comunione è sufficiente per farsi santi. Tutto dipende dalle disposizioni interiori, dalla preparazione. Metà della giornata dedicata alla preparazione, l'altra metà al ringraziamento.
Talvolta una Comunione spirituale porta con sé le medesime grazie di quella sacramentale. Nelle difficoltà (ripeti) spesso: "Mio Dio e mio tutto. (S.Massimiliano Kolbe)
O fede
cattolica, salda, forte e ben radicata, il tuo fondamento è una roccia sicura!
(cfr. Mt 7, 25). Il cielo e la terra passeranno, ma tu non passerai. Tutto il
mondo da principio ti si oppose, ma tu hai trionfato su tutto con forza
invincibile.
«Questa è la
vittoria che ha sconfitto il mondo: la nostra fede» (1Gv 5, 4). Essa ha
sottomesso re potentissimi alla signoria di Cristo, ha portato i popoli
all’obbedienza di Cristo. Che cosa ha dato ai santi apostoli e ai martiri la
forza di sopportare lotte crudeli e pene acerbissime, se non la fede, e
soprattutto la fede nella risurrezione?
Che cosa ha dato agli anacorèti il coraggio di disprezzare le delizie e gli
onori, di calpestare le ricchezze, di vivere in verginità e nel deserto, se non
una fede viva?
Che cosa oggi fa sì che i veri cristiani rinunzino alle comodità, abbandonino i
piaceri, sopportino dolori, e sostengano fatiche? La viva fede, operante per la
carità (cfr. Gal 5, 6) fa abbandonare i beni presenti con la speranza dei
futuri, e con i futuri fa cambiare i presenti. (Papa Benedetto XIV, elogio di San
Fedele da Sigmaringen)
24 aprile: San Fedele da Sigmaringen
Nato da una
famiglia di origine fiamminga, Marco Reyd, così era il suo nome al secolo, studiò
dapprima presso il collegio gesuita di Friburgo, dove si laureò in filosofia,
poi presso l'università della stessa città, dove conseguì il dottorato in utroque jure (il 7 maggio 1611). Iniziò
a dedicarsi all'attività forense, ma rimase presto deluso da quella
professione, così l'anno seguente decise di entrare, insieme a suo fratello,
tra i cappuccini del convento di Friburgo (4 ottobre 1612, prendendo il nome di
Fedele) e venne ordinato sacerdote. Approfonditi gli studi teologici a
Costanza, divenne anche Padre guardiano del convento di Rheinfelden, poi di
quello di Friburgo e infine di quello di Feldkirch.
Divenne presto
celebre a causa di alcuni pamphlet anti-calvinisti ed anti-zwingliani (che non
sono stati conservati), tanto che il vescovo di Coira nel 1614 gli richiese di
formare un gruppo di frati missionari per cercare di contenere il dilagare
delle idee protestanti nella sua diocesi. Fedele da Sigmaringen accolse la
richiesta solo nel 1621 e l'anno seguente la pontificia Congregazione de
Propaganda Fide (appena istituita) lo nominò Superiore delle missioni nei
Grigioni: percorse tutta la regione predicando e suscitando conversioni,
soprattutto durante la quaresima del 1622.
Il 24 aprile
dello stesso anno, uscito di chiesa dove aveva appena terminato di celebrare la
messa, venne aggredito della folla insieme a un gruppo di soldati austriaci e
ucciso. La diffusione delle dottrine riformate nella regione, infatti, era
avvenuta soprattutto in funzione anti-asburgica ed autonomista: allo stesso
modo, l'Impero sosteneva il cattolicesimo soprattutto allo scopo di tutelare
l'integrità del suo territorio e la supremazia della casa d'Austria. Fu
canonizzato nel 1746 dal papa Benedetto XIV.
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