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sexta-feira, 24 de abril de 2015

Cardinal Parolin : sensibiliser les migrants au danger de l’exil


Dans un entretien au quotidien italien La Stampa (22 avril 2015), le secrétaire d’État du Saint-Siège estime que l’Église catholique: « pourrait aussi faire une œuvre de persuasion majeure, faisant prendre conscience des graves risques auxquels sont confrontés les réfugiés ».

Parmi les survivants des traversées périlleuses « l’un pensait que la Méditerranée fusse seulement un fleuve » : « Beaucoup ne savent pas ce à quoi ils font face ou ont été trompés. »

Le cardinal considère que l'Italie ne peut gérer seul en Europe ce phénomène et appelle à « créer dans les pays de provenance les conditions qui permettent de rester et non de favoriser l’exode ».

En France, l'étude de l'islam sera obligatoire, mais celle du christianisme médiéval facultative


L'Education nationale a en effet mis au point de nouveaux programmes d'histoire pour le collège. On saluera le souci de ne pas faire «disparaître de cet enseignement le cadre national ni la perspective chronologique propre à l'histoire». Alors que la France se divise en communautés disparates sans parvenir à forger une destinée et une fierté communes, on approuvera aussi la visée poursuivie par ces nouveaux programmes: «Dans un ordre chronologique, le programme permet de mieux lire et comprendre le monde d'aujourd'hui en insistant sur des moments forts, des traits marquants des sociétés du passé et des problématiques indispensables à la formation du citoyen.»

C'est en parcourant ensuite la liste des sujets abordés que l'inquiétude surgit: le Conseil supérieur des programmes (CSP) distingue les sujets «obligatoirement étudiés» des sujets «traités au choix de l'enseignant». Ainsi, l'étude de l'Islam sera obligatoire, mais celle du christianisme médiéval facultative - ceux qui choisiront de l'enseigner devront le faire uniquement sous l'angle de l' «emprise de l'Eglise sur les mentalités rurales». Dans une société en mal d'intégration et de cohésion nationale, on ne manquera pas de s'étonner d'une curiosité si grande pour les religions venues d'ailleurs, et d'une révulsion si manifeste pour nos racines judéo-chrétiennes. N'est-ce pas pourtant en redonnant à l'élève ces racines que nous le rendrons d'autant plus ouvert à l'altérité? Par ailleurs, où est-il passé, ce «cadre national» que le CSP évoquait précédemment?

Il apparaît ensuite, nous objectera-t-on. C'est vrai, le cadre national est abordé à travers l'étude obligatoire des heures sombres ou controversées du passé (esclavage, colonisation, génocides, déportation…). En revanche, l'enseignement de l'humanisme et des Lumières, problématiques qu'on croirait pourtant «indispensables à la formation du citoyen», n'est que facultatif. Nos repères communs seront donc extraits des cultures venues d'ailleurs et des tragédies de notre histoire. Plutôt que d'amener l'élève à puiser à la source du christianisme, de l'humanisme et des Lumières, le CSP préfère écouler ses stocks de repentance amère et éculée.

Il ne s'agit pas ici de mettre en cause l'importance du «devoir de mémoire» ; nous affirmons seulement que la mémoire ne formera le citoyen qu'à condition de l'inspirer et de le libérer, en lui proposant le terreau vivant d'une action positive et généreuse. Plutôt que de séquestrer l'élève dans l'obscurité des fautes et des blessures passées, que ne lui propose-t-on des épopées nationales, des modèles, des figures de courage, d'unité et de résistance, dans lesquels il pourra puiser des valeurs incarnées? Les jeunes générations ont droit, aujourd'hui, à se fondre dans une histoire de France qu'ils pourront enfin connaître et admirer.

Or, loin d'évoquer les plus belles pages de notre histoire, le CSP entend une nouvelle fois enfermer l'élève dans le culte de la culpabilité et de la haine de soi. Le fait n'est pas nouveau: il y a bien longtemps que l'enseignement de l'histoire se fourvoie chez nous dans un travail de sape et d'auto-flagellation prodigieusement masochiste. Avec la réforme du collège, un nouveau cap est franchi. Ne cherchez plus la crise de la France: elle est là, dans ce retournement de soi contre soi." (Madeleine Bazin de Jessey, Figaro Vox, 22 avril 2015)

Cuarenta y cinco británicas tomaron los votos en 2014 en le Reino Unido, el triple que hace cinco años


Crece el número de monjas británicas
Primavera vocacional en Inglaterra

El número de mujeres que se convirtieron en monjas en el Reino Unido en 2014 fue el más alto en 25 años, según cifras difundidas este jueves por la Iglesia católica. Cuarenta y cinco británicas tomaron los votos ese año, el triple que hace cinco años, en contraste con la tendencia mundial a la baja. De todos modos, la Iglesia católica británica no espera que las cosas vuelvan a ser como antes.

"Nunca volveremos al lugar en el que estábamos hace 50 años, la cultura católica ocupaba un lugar muy diferente", ha asegurado la hermana Cathy Jones, promotora de vocaciones religiosas de la Iglesia católica británica.

Pero el hecho de que sean las mejores cifras en 25 años, "significa que como generación hemos superado lo peor", ha añadido. (RD/Agencias, 24 de abril de 2015)

Comunione per farci santi


Una sola Santa Comunione è sufficiente per farsi santi. Tutto dipende dalle disposizioni interiori, dalla preparazione. Metà della giornata dedicata alla preparazione, l'altra metà al ringraziamento.
Talvolta una Comunione spirituale porta con sé le medesime grazie di quella sacramentale. Nelle difficoltà (ripeti) spesso: "Mio Dio e mio tutto. (S.Massimiliano Kolbe)


O fede cattolica, salda, forte e ben radicata, il tuo fondamento è una roccia sicura! (cfr. Mt 7, 25). Il cielo e la terra passeranno, ma tu non passerai. Tutto il mondo da principio ti si oppose, ma tu hai trionfato su tutto con forza invincibile.
«Questa è la vittoria che ha sconfitto il mondo: la nostra fede» (1Gv 5, 4). Essa ha sottomesso re potentissimi alla signoria di Cristo, ha portato i popoli all’obbedienza di Cristo. Che cosa ha dato ai santi apostoli e ai martiri la forza di sopportare lotte crudeli e pene acerbissime, se non la fede, e soprattutto la fede nella risurrezione?
Che cosa ha dato agli anacorèti il coraggio di disprezzare le delizie e gli onori, di calpestare le ricchezze, di vivere in verginità e nel deserto, se non una fede viva?
Che cosa oggi fa sì che i veri cristiani rinunzino alle comodità, abbandonino i piaceri, sopportino dolori, e sostengano fatiche? La viva fede, operante per la carità (cfr. Gal 5, 6) fa abbandonare i beni presenti con la speranza dei futuri, e con i futuri fa cambiare i presenti. (Papa Benedetto XIV, elogio di San Fedele da Sigmaringen)

24 aprile: San Fedele da Sigmaringen


Nato da una famiglia di origine fiamminga, Marco Reyd, così era il suo nome al secolo, studiò dapprima presso il collegio gesuita di Friburgo, dove si laureò in filosofia, poi presso l'università della stessa città, dove conseguì il dottorato in utroque jure (il 7 maggio 1611). Iniziò a dedicarsi all'attività forense, ma rimase presto deluso da quella professione, così l'anno seguente decise di entrare, insieme a suo fratello, tra i cappuccini del convento di Friburgo (4 ottobre 1612, prendendo il nome di Fedele) e venne ordinato sacerdote. Approfonditi gli studi teologici a Costanza, divenne anche Padre guardiano del convento di Rheinfelden, poi di quello di Friburgo e infine di quello di Feldkirch.

Divenne presto celebre a causa di alcuni pamphlet anti-calvinisti ed anti-zwingliani (che non sono stati conservati), tanto che il vescovo di Coira nel 1614 gli richiese di formare un gruppo di frati missionari per cercare di contenere il dilagare delle idee protestanti nella sua diocesi. Fedele da Sigmaringen accolse la richiesta solo nel 1621 e l'anno seguente la pontificia Congregazione de Propaganda Fide (appena istituita) lo nominò Superiore delle missioni nei Grigioni: percorse tutta la regione predicando e suscitando conversioni, soprattutto durante la quaresima del 1622.

Il 24 aprile dello stesso anno, uscito di chiesa dove aveva appena terminato di celebrare la messa, venne aggredito della folla insieme a un gruppo di soldati austriaci e ucciso. La diffusione delle dottrine riformate nella regione, infatti, era avvenuta soprattutto in funzione anti-asburgica ed autonomista: allo stesso modo, l'Impero sosteneva il cattolicesimo soprattutto allo scopo di tutelare l'integrità del suo territorio e la supremazia della casa d'Austria. Fu canonizzato nel 1746 dal papa Benedetto XIV.

quinta-feira, 23 de abril de 2015

Saint Charlemagne, défenseur et humble auxiliaire de la Sainte Église de Dieu

Charlemagne est la plus brillante illustration de l'histoire de France. Le trait caractéristique de la royauté de ce prince et son plus beau titre de gloire, c'est qu'il a toujours fait servir sa puissance à l'extension du règne de Jésus Christ sur la terre. Tous les actes de sa vie, ses guerres au dehors, sa législation au dedans, sont inspirés par cette grande idée; conquérant, administrateur, savant et propagateur de la science, homme privé, il est toujours fidèle au titre glorieux qu'il aime à mettre en tête de ses actes et de ses capitulaires : Défenseur dévoué et humbe auxiliaire de la sainte Église de Dieu. Aussi est-il le type le plus accompli du monarque chrétien.

La grande figure de Charlemagne éclaire le VIIIe et le IXe siècle. Il avait 27 ans lorsqu'il succéda à Pépin le Bref pour le gouvernement d'une partie de la Gaule, et il en avait à peine 30 quand la mort de son frère Carloman le laissa seul maître du royaume. Le jeune monarque était entouré d'ennemis qu'il vainquit successivement avec un rare bonheur.

Son règne s'ouvre par la guerre de Saxe. Après trente trois ans de luttes nombreuses où Charlemagne avait toujours le dessus, les Saxons posèrent enfin les armes et reçurent par l'entremise de leur vainqueur le double bienfait de la foi et de la civilisation.

Dans les intervalles de cette longue guerre, Charlemagne fit plusieurs expéditions en Italie où l'appelait le souverain pontife Adrien 1er, persécuté par le roi des Lombards. Il anéantit la domination lombarde et confirma en les augmentant les donations de Pépin au Saint Siège.

Il porta aussi ses armes victorieuses en Espagne où les Chrétiens gémissaient sous le joug des Maures. Cette expedition fut marquée par une défaite. Après avoir conquis le pays jusqu'à l'Ebre, Charlemagne revenait dans ses Etats, lorsque son arrière garde fut battue à Roncevaux; elle était commandée par le fameux paladin Roland, son neveu, qui y fut tué et que la légende et la poésie du temps ont immortalisé.

Toutes les autres expéditions de Charlemagne, quoique moins importantes, avaient été également heureuses et avaient eu pour but d'assurer la propagation de, la foi chez les peuples barbares ; son sceptre régissait la Gaule, l'Allemagne, l'Italie et la plus grande partie de l'Espagne ; il était réellement le chef de toutes les nations chrétiennes, et les souverains infidèles eux-mêmes recherchaient son alliance et s'en faisaient gloire; aussi le pape saint Léon III voulut-il proclamer en sa personne la restauration de l'empire d'Occident, qui allait devenir le Saint Empire Romain.

Le jour de Noël de l'an 800, pendant que Charlemagne, appelé à Rome pour combattre encore les ennemis du Saint Siège, assistait à la messe pontificale dans l'église des saints Apôtres, le Pape lui posa sur la tête le diadème des Césars, aux acclamations multipliées de la foule. Après, cette imposante cérémonie, Charles se fit prêter par ses sujets un nouveau serment de fidélité, mais il avait auparavant renouvelé le sien en ses termes solennels: « Au nom du Christ, devant Dieu et le bienheureux Pierre apôtre, je jure et je promets que je serai le protecteur et le défenseur de cette sainte Eglise romaine dans toutes ses nécessités, autant que je serai aidé par le secours divin et selon que je le saurai et pourrai ».

A partir de ce moment, Charlemagne s'occupa surtout de donner des lois à son puissant empire. Il n'avait, du reste, jamais négligé ce soin. Des assemblées générales de la nation se tenaient fréquemment: il s'y montrait accessible à tous, accueillant les demandes de la foule; les grands et les évêques, réunis en conseil, recevaient de lui ses communications et lui transmettaient leurs avis ; il décidait enfin et dictait ses lois ou capitulaires. Des magistrats locaux étaient chargés de les faire observer, de maintenir l'ordre, de rendre la justice; ils étaient eux mêmes contrôlés par les envoyés royaux, missi dominici, qui parcouraient chaque année le. royaume avec la charge de réformer les abus et d'en instruire l'empereur. Celui-ci surveillait tout et se rendait compte de tout de son palais d'Aix-la-Chapelle qu'il avait choisi comme capitale de son empire. On remarque, dans les capitulaires, que le grand empereur se préoccupe constamment de faire observer les règles ecclésiastiques; non seulement il respecte les droits de l'Eglise, mais encore il cherche à favoriser de tout son pouvoir l'action et le maintien de sa discipline.

« Dieu, disent les chroniques du temps, donna à Charlemagne une sagesse incomparable et un amour de la.science qui fut la passion de toute sa vie. » Son règne fut une époque de renaissance pour les lettres, les sciences et les arts. Il mit le plus grand soin à s'entourer de savants illustres, parmi lesquels le moine saxon Alcuin tient la première place. Charlemagne était vraiment savant: il parlait le latin et entendit le grec, il avait des notions précises de la doctrine théologique, il était doué d'une éloquence forte et l'on trouve dans toute ses lettres l'empreinte de son grand génie. Il s'efforçait  de propager l'instruction et il voulait que la science fut accessible à tous ses sujets. Il ordonna dans un de ses capitulaires que des écoles seraient instituées près de tous les évêchés et des monastères; le curé de chaque paroisse devait apprendre gratuitement la lecture aux enfants. Préoccupé surtout de l'éducation chrétienne de son peuple, il s'occupa activement du chant et de la musique sacrée: il introduisit dans toutes les églises de la Gaule et de la Germanie le beau chant grégorien, dont il avait fait étudier les règles à Rome même par des clercs, envoyés à cet effet dans la capitale du monde chrétien.

Ce grand conquérant, ce sage législateur était un fils affectueux, un bon père, un ami tendre. Il entoura d'honneurs et de soins sa mère Bertrade jusqu'au jour où elle mourut doucement entre ses bras. Il aimait à voir les princesses ses filles, rangées sous la garde de leur aïeule et s'occupant soit à filer, au fuseau, soit à travailler la laine ; car s'il veillait attentivement à leurs progrès dans les études libérales, il désirait aussi les voir se familiariser avec les ouvrages de leur sexe, et il ne redoutait rien tant pour elles que l'oisiveté, mère de tous les vices. « Le monarque était, dit Eginhard, facile à contracter des amitiés et très constant à les conserver ». Cette tendresse de coeur se révèle d'une manière particulièrement touchante dans sa correspondance avec le pape Adrien 1er.

Inutile d'ajouter que toute la vie Charlemagne fut une vie profondément chrétienne et réglée par les maximes de l'Evangile. Simple dans ses repas, scrupuleusement observateur des lois de l'Eglise, il aimait à prolonger sa prière même aux dépens du repos de la nuit; il portait presque habituellement un cilice sous ses habits royaux, et faisait d'abondantes aumônes aux pauvres, aux pèlerins, aux monastères qu'il avait fait bâtir.

Les dernières années du grand empereur furent attristées par les vides nombreux que la mort fit à son foyer, et par la première apparition des Normands, funeste présage des maux dont son empire était menacé. Il mourut à l'âge de 72 ans,dans son palais d'Aix-la-Chapelle qu'il avait fondée. On plaça un évangile d'or entre ses mains, une épée d'or à son côté, et devant lui le sceptre et le bouclier d'or bénits par le pape saint Léon III. Son corps fut paré des vêtements impériaux, au-dessous desquels on plaça son cilice dont il avait coutume de se servir. L'on mit sur lui la besace dorée qu'il portait quand il allait à Rome, comme l’insigne des pèlerins.

Charlemagne avait eu pour mission de grouper, de convertir, de fixer au sol les peuples barbares. Son empire n'a pu être durable, il est vrai; mais quand, par son démembrement, s'est brisée l'unité politique,l’unité religieuse était fondée: la chrétienté est née de l'empire chrétien.

La fête de Charlemagne est célébrée dans presque tous les diocèses d'Allemagne, avec l'assentiment tacite de l'Eglise; depuis le XIIe siècle. En France aussi, ce grand empereur était généralement honoré avant l'invasion du protestantisme. L'Université de Paris le reprit pour son patron au XVle siècle. La Saint Charlemagne, célébrée le 28 janvier, devint ainsi la fête des écoles.

Giaculatoria del giorno



 
 
O Madre mia, copri col tuo manto verginale la mia anima e concedimi la grazia della purezza del cuore, dell'anima e del corpo e difendimi con la tua potenza da tutti i nemici.

Terremoto tra i gesuiti, o la fine del Pontificio Istituto Orientale?

Esautorati dal generale della Compagnia di Gesù il rettore e i due decani. L’islamologo Samir Khalil Samir nuovo reggente provvisorio. Un disastro preannunciato da anni.

Sandro Magister, Repubblica, ROMA, 21 aprile 2015

La scorsa settimana il Pontificio Istituto Orientale ha pianto la misteriosa scomparsa di un suo docente, padre Lanfranco Rossi, trovato senza vita in una campagna poco lontano da Roma.

Ma sempre la scorsa settimana ha investito l’istituto anche un verro e proprio terremoto istituzionale, con l’esautorazione del suo corpo dirigente.

La notifica del provvedimento, firmata dal preposito generale della Compagnia di Gesù, padre Adolfo Nicolás Pachón, vice gran cancelliere dell’istituto, è rimasta affissa sull’albo solo per un giorno. Ma tanti hanno potuto leggerla e sapere.

Da martedì 14 aprile il rettore James McCann e i decani delle due facoltà di scienze ecclesiastiche e di diritto canonico orientali Philippe Luisier e Michael Kuchera, tutti gesuiti, sono decaduti dai loro ruoli.

A reggere temporaneamente l’istituto, con la qualifica di pro-rettore “ad interim”, è stato chiamato padre Samir Khalil Samir, 77 anni, gesuita, nato in Egitto, orientalista e islamologo di fama, già professore alla Université Saint-Joseph di Beirut e in altri atenei d’Europa e d’America.

E come nuovi pro-decani sono stati nominati i padri Edward G. Farrugia e Sunny Thomas Kokkaravalayil. L’unico a restare al suo posto è padre Massimo Pampaloni, confermato come pro-vice rettore.

L’ordinanza è andata in esecuzione immediata, senza attendere l’inizio del nuovo anno accademico. Nella lettera con la quale ha notificato il provvedimento, il generale dei gesuiti ha riprovato lo spirito “non caritatevole” che ha disgregato la comunità docente, con grave danno per la missione dell’istituto.

Il Pontificio Istituto Orientale è stato creato quasi un secolo fa, nel 1917, da papa Benedetto XV, assieme alla congregazione per le Chiese orientali, il cui prefetto – che attualmente è il cardinale argentino Leonardo Sandri – ne è anche gran cancelliere.

Nel 1922 Pio XI affidò l’istituto alla Compagnia di Gesù, riservando al papa la nomina del rettore, su proposta autonoma del preposito generale dopo aver sentito i docenti gesuiti.

Nei mesi scorsi i decani e alcuni professori dell’istituto avevano chiesto la destituzione del rettore, lo statunitense McCann, giudicato incapace di guidare la macchina accademica. Il generale dei gesuiti inviò un ispettore nella persona di padre Gianfranco Ghirlanda, già rettore della Pontificia Università Gregoriana ed esperto canonista. E il risultato è stato, appunto, l’azzeramento del direttivo.

Che padre McCann non godesse di particolare apprezzamento nemmeno in Vaticano lo si era intuito già il 19 febbraio 2014, quando furono nominati consultori della congregazione per le Chiese orientali il vice rettore Pampaloni e i decani Luisier e Kuchera, ma non lui, il rettore in carica: un’umiliazione tanto più bruciante in quanto segretario della congregazione era – ed è tuttora – un suo confratello gesuita, l’arcivescovo slovacco di rito greco Cyril Vasil.

Tuttavia, che il disastro riguardasse non una singola persona ma l’insieme dell’istituto era da tempo sotto gli occhi di tutti, senza però che nessuno vi ponesse rimedio.

La denuncia di tale disastro affiorò la prima volta in pubblico il 15 dicembre 2011, in un momento solenne e di fronte all’intero corpo accademico, in occasione della cerimonia di congedo di padre Robert F. Taft, statunitense, liturgista insigne, l’ultimo dei grandi docenti del periodo d’oro del Pontificio Istituto Orientale, al pari dei padri Tomás Spidlik, moravo, fatto cardinale da Giovanni Paolo II nel 2003, e Miguel Arranz Lorenz, spagnolo.

A tenere la “laudatio” in onore di Taft – poi pubblicata sulla rivista “Studi sull’Oriente Cristiano” e ivi leggibile on line – fu Stefano Parenti, professore di liturgie orientali al Pontificio Ateneo Sant’Anselmo di Roma e discepolo dello stesso Taft, assieme al quale sta ora pubblicando una monumentale storia della liturgia bizantina in più volumi, per i tipi dell’Abbazia Greca di San Nilo a Grottaferrata.

Parenti disse tra l’altro:

“A differenza di oggi, alla fine degli anni Ottanta del XX secolo il Pontificio Istituto Orientale era luogo d’eccellenza per lo studio delle liturgie orientali, in particolare della liturgia bizantina. Chi in futuro si sobbarcherà l’onere di scriverne la storia saprà accertare le responsabilità che hanno condotto a una ‘débâcle’ tanto clamorosa, in un gioco al massacro che, osservato a distanza con il distacco di chi non si sente coinvolto, vede un’arena deserta, senza vincitori e senza vinti”.

E ancora:

“Ci troviamo dinanzi a quello che in politica si chiama ‘problema di sistema’, noto da tempo ma ignorato da chi aveva il compito di vigilare. A ciò si devono sommare la precarietà di tanti contratti e le modalità singolari di reclutamento e promozione dei docenti, per cui vi sono professori stabili che in una buona università statale europea o americana, nella più favorevole delle eventualità, sarebbero rimasti ricercatori fino alla pensione”.

In effetti, anche oggi basta scorrere la tabella dei corsi per notare la precarietà di tanti insegnamenti, affidati a docenti raccogliticci, in temporanea trasferta da altre università e ridotti a fare in poche settimane ciò che dovrebbe durare un intero semestre, a tutto danno degli allievi.

Per non dire del venir meno dell’istituto al suo compito primario di servizio alla Chiesa, in un momento di gravissima crisi nell’oriente musulmano e cristiano, dalla Siria all’Ucraina, un frangente in cui un contributo di consulenza e di studio sarebbe più che mai necessario.

Oltre che improduttivo su questi temi cruciali, il Pontificio Istituto Orientale si è segnalato nei mesi scorsi anche per la clamorosa defezione di un suo ex vicerettore, Costantin Simon, americano di origini ucraino-ungheresi, specialista del cristianesimo russo.

Uscito dalla Compagnia di Gesù e dalla Chiesa cattolica, Simon è stato solennemente accolto come sacerdote nella Chiesa ortodossa russa il 7 giugno 2014, in un rito officiato dall’arcivescovo Amvrosij di Peterhof, rettore dell’accademia teologica di San Pietroburgo.

C’è chi prevede che il terremoto di questi giorni sia solo il preludio di una temporanea chiusura dell’istituto, in vista di una sua radicale ristrutturazione.

L'Europe est une cible pour les islamistes


Franck MARGAIN, vice-président du PCD et conseiller régional d'Île de France réagit à la révélation d'une tentative d'attentats contre une église :

"C'est avec une grande stupeur que nous apprenons ce projet d'attentats contre une ou plusieurs églises.

S'attaquer à une église, c'est s'attaquer directement aux Chrétiens mais aussi à la culture de la France et à l'âme des français.

Cela démontre à nouveau  la volonté de  l'islamisme de mener une guerre sans merci à notre pays.

Les actes christianophobes en augmentation constante et inquiétante dans notre pays, contribuent à la perte de notre identité. L’arrêt des politiques d'assimilation au profit des politiques communautarismes fragilisent la paix civile en France.

Je n'ose imaginer les conséquences d'une fusillade dans une église pleine et rassemblée pour la messe dominicale. Nous venons d'échapper au pire, je salue le travail de grande qualité et salutaire effectué par les forces de l'ordre. Il est extrêmement facile de pousser des populations à la guerre civile et je demande au Gouvernement de tout mettre en œuvre afin d'assurer la sécurité des chrétiens en France ainsi que de l'ensemble de nos compatriotes. La liberté religieuse et la liberté de conscience si mises à mal en ces temps doivent être protégées.

L'Europe est une cible pour les islamistes, il appartient au Gouvernement de la France d'assurer notre protection."